NO HAPPY END ! C'est ainsi que je pourrais résumer ce mois de lecture, fortement marqué par des thrillers tous plus pervers ou violents les uns que les autres. La faute à la sélection du mois pour le Prix des Lecteurs du Livre de Poche : je dois dire que ce mois-ci, ils y sont allés fort !

Malgré tout, j'ai beaucoup aimé chacun des trois thrillers proposés par Le Livre de Poche (oh, comme le vote a été difficile !) et j'ai réussi à garder le moral en temporisant avec un bon Sophie Kinsella !


J'ai donc commencé le mois de juin avec Les Apparences de Gillian Flynn, qui est assez mis en avant en librairie depuis qu'il a remporté le Prix des Lectrices ELLE. Il m'a fallu m'accrocher et j'ai bien failli abandonner plusieurs fois. Néanmoins, j'avais envie de connaître la fin de cette intrigue diaboliquement perverse. La fin m'a laissé un goût amer dans la bouche, et visiblement je ne suis pas la seule. Malgré tout, j'ai adoré la maîtrise de l'auteur, qui prend un malin plaisir à balader son lecteur sur presque 700 pages. 


J'ai voté pour ce roman au Prix des Lecteurs du Livre de Poche.


Après Les Apparences, j'avais besoin d'un bol d'air frais. Et quoi de mieux qu'un roman de Sophie Kinsella pour se vider la tête ? Poppy Wyatt est un sacré numéro attendait sagement d'être lu, je m'en suis donc emparée et.. j'ai beaucoup ri ! Je regrette l'intrigue un peu prévisible, mais j'ai vraiment passé un très bon moment sans aucune prise de tête, ce qui était tout à fait le but recherché !


Retour au thriller et plongée au cœur du Nigéria avec Les fantômes du Delta d'Aurélien Molas. Sur fond de guerres politiques et religieuses, l'auteur développe une intrigue originale à suspense. Mention spéciale au très fort réalisme (qui fait écho à la triste actualité du Nigéria ces dernières semaines) et à la poésie du texte qui, bien que très violent, est magnifique à lire.

Changement de décor : avec Le sable était brûlant de Roger Smith, je suis passée du Nigéria à l'Afrique du Sud, mais suis restée dans l'ultra-violence. Ce thriller évolue dans les vallées, loin des grandes villes du pays, où l'apartheid ne semble avoir jamais été aboli et où Blancs et Noirs se livrent toujours à une guerre sanglante. Les scènes de massacre sont légion et il m'a fallu à plusieurs reprises faire des pauses dans ma lecture pour souffler un peu. Le plus dur, au fond, est de réaliser que ces scènes existent vraiment de nos jours.
Sur ce, je m'en vais lire un petit livre de méditation, histoire d'être zen avant de reprendre un thriller ! 

Et vous, happy end ou pas ce mois-ci ?


Si vous me suivez depuis quelques temps, vous savez certainement que j'aime alterner les lectures sérieuses/difficiles/violentes avec des romans beaucoup plus fun, sans prise de tête. Surtout en période de jury littéraire où les lectures imposées, parfois ultra-violentes, ont parfois raison de mon moral, et qu'il m'est indispensable de relâcher la pression. Vous savez également que dans ce cas, Sophie Kinsella est devenue l'un de mes auteurs préférés pour me vider la tête. Mon dernier en date, Poppy Wyatt est un sacré numéro, n'a pas dérogé à la règle.

Toute une vie dans un portable
L'intrigue du roman est assez simple : lors d'une bousculade dans l'hôtel où elle enterre sa vie de jeune fille, Poppy Wyatt perd sa bague de fiançailles (précieux bijou de famille transmis de génération en génération) et se fait voler son téléphone portable. Elle qui a demandé à tous ses contacts de l'aider à retrouver sa bague, comment faire si elle n'est pas joignable ? Heureusement, la chance tourne rapidement et Poppy trouve un téléphone abandonné dans une corbeille à papier, en parfait état de marche. Mais pour le garder, il lui faudra jouer les assistantes en herbe d'un dénommé Sam au caractère bien trempé...

Très honnêtement, j'ai été assez sceptique, au début, sur la capacité de l'auteur à développer une intrigue en apparence si simple sur presque 500 pages. Mais comme à son habitude, Sophie Kinsella excelle et manie avec brio l'art du rebondissement et du quiproquo. Au final, l'intrigue évolue rapidement et on n'a pas le temps de s'ennuyer.

Poppy, l'héroïne, est drôle et rafraîchissante, gaffeuse et rigolote mais, surtout, un brin "je-me-mêle-de-tout". A ce titre, je trouve qu'elle ressemble beaucoup à Becky dans la saga de L'accro du shopping, peut-être même un peu trop. J'ai également regretté que l'évolution des relations entre les personnages, notamment la relation de Poppy avec Sam, soit finalement assez prévisible et sans grande surprise.

Qu'à cela ne tienne, vous allez passer un excellent moment en lisant Poppy Wyatt est un sacré numéro, et le léger manque d'originalité de l'intrigue se fera rapidement oublier par la facilité déconcertante avec laquelle ce roman vous fera rire et sourire.

Poppy Wyatt est un sacré numéro de Sophie Kinsella, Pocket, 2014, 480 pages

Vous l'avez peut-être vu si vous me suivez sur Instagram et Facebook, hier j'étais au salon Saint-Maur en Poche. Cela fait trois ans maintenant que je fréquente ce salon qui est de loin mon préféré : on est loin de l'ambiance feutrée du Salon du Livre de Paris, ici l'atmosphère est conviviale, les auteurs sont accessibles et sont heureux d'être là et c'est toujours l'occasion de faire de belles rencontres. Je suis ravie de voir que Saint-Poche en Poche s'épanouit d'année en année pour devenir un salon incontournable sur lequel on croise de sacré pointures.

Et cette année il y avait du très lourd : Katherine Pancol, Guillaume Musso, Gilles Legardinier, Laurent Gounelle, Jean d'Ormesson, Tatiana de Rosnay... tous ces auteurs étaient là, sous les tentes de Saint-Maur, ravis de rencontrer leurs lecteurs.


15h. J'arrive donc au salon et je retrouve Myriam (Un Jour. Un Livre) qui est déjà sur place, accompagnée de Pauline (Brèves littéraires) et d'Emmanuelle (Les bêtises de Manu). Nous allons directement saluer Frédéric Lenormand, l'auteur de La baronne meurt à cinq heures qui, d'après Myriam, souhaite me rencontrer depuis que j'ai encouragé tout le monde à lire son livre. Dès qu'il nous voit, il nous fait un grand sourire, se lève, fait le tour de son stand et vient nous faire la bise !!? Je ne m'y attendais pas ! Nous discutons quelques minutes et il dédicace mon exemplaire de La baronne meurt à cinq heures.

Frédéric Lenormand

Puis nous nous dirigeons vers l'allée du thriller pour rencontrer Karine Giebel, "l'impératrice du thriller français", comme indiqué sur la pancarte attachée au-dessus de son stand. En attendant mon tour, je vois Sandrine Collette, l'auteur de Des nœuds d'acier, à deux pas de là. Je demande donc à Myriam de garder ma place et je file faire dédicacer mon exemplaire. Des nœuds d'acier est un roman trash, très dur, que j'avais aimé mais qui m'a filé le bourdon. Je n'ai pas pu m'empêcher de demander à Sandrine Collette : "Vous arrivez à garder le moral en écrivant ce genre d'histoires ?", ce qui l'a beaucoup fait rire.

Sandrine Collette

Une fois mon exemplaire dédicacé, je retourne dans la file de Karine Giebel et lui fais dédicacer Le purgatoire des innocents, qui est très différent de Juste une ombre, me prévient l'auteur.

Karine Giebel

16h. Les filles commencent à faire la queue pour obtenir une dédicace de Laurent Gounelle, dont le stand est pris d'assaut avant même qu'il n'arrive ! J'en profite pour me promener dans les allées. Je renonce à obtenir une dédicace de Katherine Pancol : la file traverse la moitié du salon et il y a au moins une heure et demi d'attente !

En revanche, j'aperçois Yannick Grannec, l'auteur de La déesse des petites victoires et là, mon cœur s'emballe. Je n'avais pas vu son nom sur le programme et je n'ai donc pas emmené son livre, que j'ai prêté à ma maman. Malgré tout, je ne peux pas passer devant elle sans aller lui parler. Je m'approche donc et lui dis tout le bien que je pense de son roman. Visiblement, elle ne s'attendait pas à ces compliments et semble toute émue. Tout comme moi.

Yannich Grannec (à gauche)

16h30. Rendez-vous à la scène centrale pour le scoop du salon : Myra Eljundir, l'auteur de la saga young-adult Kaleb (dont j'ai abandonné le premier tome, décidément, le young-adult c'est pas mon truc), dont on avait jamais vu le visage, va dévoiler son identité ! Après un léger suspense, l'auteur retire le casque de moto derrière lequel elle se cachait : ce n'est autre qu'Ingrid Desjours, auteur de nombreux thrillers à succès. Au micro, elle explique que le pseudo lui donne une certaine liberté et lui permet d'écrire autre chose sans être cataloguée. 

Je profite de l'agitation autour de cette annonce pour obtenir une dédicace de Jussi Adler-Olsen, auteur de Miséricorde, avant qu'il ne soit appelé sur scène. Quel auteur sympa ! Il a vendu des millions d'exemplaires à travers le monde et reste humble, accessible et terriblement drôle. Je suis très heureuse qu'il ait reçu le Prix coup de cœur du salon, c'est bien mérité.

Jussi Adler-Olsen

Ensuite, je me dirige vers le stand de Franck Thilliez, qui est entouré de ses potes de la Ligue de l'imaginaire, Henri Loevenbruck, Eric Giacometti et Jacques Ravenne. Il y a aussi une place pour Bernard Werber, qui n'est là que le dimanche. Je m'approche de Franck Thilliez et lui fait dédicacer mon exemplaire du Syndrome E, en lui disant que j'ai adoré Atomka. Il me répond timidement que je devrais aimer celui-ci aussi.

Henri Loevenbruck et Franck Thilliez

Je suis heureuse, j'ai rencontré tous les auteurs que je voulais voir et j'ai toutes mes dédicaces. Encore quelques pas dans les allées avant de rentrer. C'était encore une belle édition et j'ai hâte d'y retourner l'année prochaine. 


Sa couverture argentée, son titre mystérieux et sa consécration au Grand Prix des Lectrices ELLE m'ont intriguée plus d'une fois. Après un début périlleux, Les Apparences de Gillian Flynn tient ses promesses : on est bien en présence d'un thriller psychologique de haut vol, d'une perversité brutale mais remarquable.

Les apparences sont bien trompeuses
Amy et Nick filent le parfait amour. Même après avoir dû quitter leur luxueux appartement de New-York pour s'installer dans le Missouri après avoir tous deux perdu leur travail, ils renvoient l'image d'un couple heureux et sans faille. Jusqu'à leur cinquième anniversaire de mariage, le jour où Amy disparaît dans des circonstances étranges. Rapidement, l'attitude anormale de Nick en fait le principal suspect : derrière les apparences, le couple est loin d'être aussi parfait qu'il n'y paraît.

Préparez-vous à sauter de surprise en rebondissement. Dans ce thriller psychologique très bien ficelé, Gillian Flynn prend un malin plaisir à manipuler le lecteur du début à la fin. Après un départ lent et plutôt difficile (j'ai dû m'accrocher sur les 300 premières pages et j'ai même failli abandonner) nécessaire au placement d'une multitude de détails qui auront tous leur importance par la suite, l'intrigue devient addictive.

En optant pour un récit à deux voix qui lui permet d'alterner le point de vue de Nick et d'Amy, l'auteur brouille les pistes et sème le doute dans l'esprit du lecteur. Peu à peu, les deux personnages principaux se révèlent aussi manipulateurs l'un que l'autre, et ni l'un ni l'autre n'inspire la sympathie. Pour être honnête, mon sentiment à leur égard n'a cessé de balancer entre pitié et dégoût. 

Mais le talent de Gillian Flynn réside surtout dans la construction du personnage d'Amy : progressivement se dévoile un être malsain, d'une perversion démesurée, une véritable sociopathe comme on n'imaginait pas que cela puisse exister. S'il ne plaira certainement pas à tout le monde, Les Apparences reste pour moi un chef-d'oeuvre de maîtrise qui séduira les amateurs de thriller psychologique.

Les Apparences de Gillian Flynn, Le Livre de Poche, 2013, 687 pages

Jeudi 12 juin, j'étais invitée à la soirée de remise du Prix des Lectrices Milady Romance 2014. En début d'année, les éditions Milady avaient mobilisé une centaine de blogueuses pour établir la liste de leurs livres préférés parus chez Milady Romance en 2013. 15 romans avaient ensuite été sélectionnés et soumis au vote des lectrices.


C'est donc au cours d'une soirée spéciale au siège parisien de la maison d'édition que le roman gagnant a été dévoilé, en présence de Stéphane Marsan, directeur de la publication, d'Isabelle Varange, directrice éditoriale, et de nombreux blogueurs et partenaires.


Le roman lauréat est Loin de tout de J.A. Redmerski, une romance qui a beaucoup fait parler d'elle à sa sortie en grand format. La version poche a été publiée chez Milady le 13 juin 2014 et la suite, Près de toi, paraîtra en grand format le 20 juin 2014.


Il y a un an maintenant, j'ai décidé de changer radicalement de mode de vie : adieu les Mc Do-pizza et les soirées passées devant la télé ou l'ordi, bonjour le sport quotidien et les fruits et légumes. Pour ne pas faire les choses n'importe comment et faire que ces changements deviennent un véritable style de vie et non un énième régime avant l'été, j'ai beaucoup lu. Des livres, des blogs, français et américains. 

Parmi les ouvrages qui m'ont aidée sur cette voie, il en est un qui a beaucoup fait parler à sa sortie, à cause de son auteur célèbre : The Body Book de Cameron Diaz. Loin d'être une manière de se mettre en avant, ce livre est une bible pour quiconque souhaite reprendre conscience de son corps, à son rythme.

Apprendre à respecter son corps
Je dois vous avouer quelque chose : lorsque j'ai commencé ce livre, je ne fondais pas beaucoup d'espoirs dessus. Il se trouve que Cameron Diaz n'est pas une actrice que j'affectionne particulièrement, et j'avais une image d'elle un peu, comment dire, "fofolle". A ma grande surprise, j'ai découvert, en lisant The Body Book, une Cameron pleine de sagesse, qui prodigue ses conseils et partage son expérience comme une grande sœur

Le principe du livre est simple : en apprenant à connaître son corps et en le traitant avec respect, on augmente sa qualité de vie et son bien-être. Cela semble évident mais, malheureusement, c'est quelque chose que nous avons tendance à oublier dans notre société de l'ultra-consommation, où ne ne prenons même plus le temps de nous poser vingt minutes pour manger un VRAI repas. 

Dans son livre, Cameron Diaz ne lance pas un énième régime innovant censé faire maigrir sans effort : elle démontre, preuves scientifiques à l'appui, que notre état mental, psychique, est intimement lié à la manière dont nous traitons notre corps. Elle explique que le stress que nous pouvons vivre au quotidien, ne sera pas apaisé par ce pot de glace que vous venez d'engloutir devant la télé en rentrant du travail, même si vous PENSEZ que ça vous a fait du bien. Non, les principes sont simples pour respecter son corps : bouger un peu tous les jours et le nourrir de vrais aliments, des aliments qui viennent de la terre, et non de cette nourriture transformée qui le rend malade (sérieusement, qui ne s'est JAMAIS senti affreusement mal après un Mc Do ou une pizza ?)

Attention, The Body Book ne contient ni formule magique, ni méthode miracle. En revanche, c'est un formidable ouvrage pour vous donner envie de respecter votre corps comme il le mérite. Sur un ton confidentiel et parfois plein d'humour, Cameron Diaz instille la confiance en soi, et c'est déjà énorme. The Body Book est un livre que je garderai précieusement et que je relirai, c'est certain.

Seule déception : The Body Book n'est disponible qu'en anglais (somme toute assez facile à comprendre) et sa traduction en français ne semble pas prévue pour le moment.

The Body Book de Cameron Diaz, Harper Collins, 2014, 288 pages


Vous avez certainement tous déjà connu ces journées où rien ne semble aller, ces jours sans où l'on n'a envie de rien, si ce n'est rester couché et s'enfiler un pot entier de Ben & Jerry's devant la télé. Ce genre de journées, j'en ai connu pas mal le mois dernier (je vous rassure, toutes ne se sont pas terminées par un gobage compulsif de Ben & Jerry's). Heureusement, parfois, un petit événement vient égayer votre journée et apporter un rayon de soleil bienfaisant au milieu de tout ce chaos. Aujourd'hui, j'avais envie de vous parler d'un de ces rayons de soleil, le premier tome d'une saga qui m'a remis du baume au cœur et dont vous risquez d'entendre beaucoup parler : Lacrimosa d'Alice Scarling.

Doux retour en adolescence
Même si vous n'êtes pas trop vampires, ce premier roman vous plaira quand même, j'en suis certaine. Tous ceux et celles qui, comme moi, rentraient du collège en courant pour ne pas manquer la diffusion de Buffy contre les vampires (ah, qu'il est loin ce temps-là !) retrouveront dans Requiem pour Sascha la douce nostalgie de l'adolescence. Le schéma somme toute assez classique du roman (une jeune fille anti-vampires qui s'allie à un être surnaturel pour les chasser) le situe à mi-chemin entre Buffy et Chasseuse de la nuit, dont l'auteur m'a avouée s'être inspirée. On y retrouve également les codes de la bit-lit sexy, avec quelques scènes érotiques, histoire de rajouter du piment.

Mais là où le roman devient vraiment intéressant, c'est dans le ton et le traitement des personnages. Sascha, l'héroïne, a ce côté impulsif digne d'une vraie chasseuse de vampire, et à la fois humain et fragile (enfin une fille qui sait buter du vampire mais aussi exprimer tristesse et larmes quand elle a un coup dur !) qui la rend attachante. Le récit est à la première personne, ce qui place le lecteur aux premières loges du ton vif et direct de Sascha, ainsi que de ses blagues plus ou moins foireuses qui m'ont fait beaucoup rire. Les rockeurs et métaleux apprécieront aussi beaucoup les nombreuses références musicales du livre.

Enfin, l'intrigue est très rythmée, sans le moindre temps mort, ce qui explique en partie le fait que j'ai lu ce livre d'une seule traite (si si, je vous assure, je l'ai lu dans la journée). J'ai beaucoup aimé la tournure que prend l'intrigue sur la fin, ce qui ne me fait dire qu'une chose : vivement la suite !

Lacrimosa, tome 1 : Requiem pour Sascha d'Alice Scarling, Milady, 2014, 307 pages


Pour la petite histoire...
J'ai rencontré Alice Scarling à la soirée de lancement de Lacrimosa en mai dernier : c'est une sympathique jeune femme aux cheveux rouges, très abordable, dont le style vestimentaire n'est pas sans rappeler celui-ci de son héroïne Sascha. Elle vient d'achever l'écriture du tome 2 de Lacrimosa, dont la parution est prévue en août chez Milady. Le tome 3 devrait paraître début 2015.